La plainte pour agression sexuelle visant l’ancienne vice-présidente de la Ciivise a été classée
La Commission indépendante sur l’inceste et les violences sexuelles faites aux enfants (Ciivise) a été plongée dans la controverse après la mise en cause de sa nouvelle vice-présidente, Caroline Rey-Salmon, pour des accusations d’agression sexuelle. Cependant, les faits dénoncés ne paraissent pas établis, tant dans leur matérialité que dans le caractère intentionnel, selon l’avis de classement émis par le parquet de Paris.
Les faits de la plainte
La plainte a été déposée par une femme âgée de 25 ans, qui se faisait appeler « Louise Lume ». Elle accusait Caroline Rey-Salmon, pédiatre et médecin-légiste, d’agression sexuelle. La jeune femme avait été victime d’inceste pendant plusieurs années dans son enfance et avait subi un examen gynécologique pratiqué par Caroline Rey-Salmon dans le cadre d’une enquête judiciaire.
La plaignante affirmait avoir été victime d’une nouvelle agression sexuelle durant cet examen. Elle déclarait que Caroline Rey-Salmon l’auscultait et lui demandait de fermer les yeux, imaginant que c’était le pénis de l’agresseur qui était sur elle. La médecin aurait également fait des gestes de va-et-vient sur son sexe.
La décision du parquet
Le parquet de Paris a classé la plainte sans suite, estimant que les faits dénoncés ne paraissent pas établis. Cette décision a été prise après une enquête approfondie, et elle a été confirmée par un avis de classement émis par le parquet.
La Ciivise a publié un communiqué pour confirmer cette décision, soulignant la nécessité de protéger l’espace de parole des victimes et de garantir la sérénité des travaux de la commission pendant toute la durée de l’enquête.
La Ciivise a également précisé que cette décision ne remet pas en cause la crédibilité des victimes et que l’instance reste un espace d’accueil privilégié et protégé pour la parole des personnes victimes.
Les anciens membres de la Ciivise, qui avaient démissionné en raison de la non-reconduction du mandat du président précédent, ont exprimé leur inquiétude face à cette décision, estimant que cela portait atteinte à la crédibilité de la commission.
La Ciivise continue de travailler pour protéger les enfants contre les violences sexuelles et d’inceste, et elle reste déterminée à soutenir les victimes et à promouvoir une culture de respect et de protection.
La Ciivise reste un espace de protection pour les victimes
La Ciivise est une commission indépendante qui a pour mission de lutter contre les violences sexuelles et d’inceste commises contre les enfants. Elle est composée de professionnels de la santé, de la justice et des associations de défense des droits des enfants. La commission a pour objectif de protéger les enfants contre ces violences et de soutenir les victimes.
La Ciivise continue de travailler pour protéger les enfants
La Ciivise continue de travailler pour protéger les enfants contre les violences sexuelles et d’inceste. Elle reste déterminée à soutenir les victimes et à promouvoir une culture de respect et de protection.
La Ciivise est un espace de protection pour les victimes
La Ciivise est un espace de protection pour les victimes de violences sexuelles et d’inceste. Elle est déterminée à soutenir les victimes et à promouvoir une culture de respect et de protection.
La Ciivise reste un espace de protection pour les victimes
La Ciivise reste un espace de protection pour les victimes de violences sexuelles et d’ince