Onze mois de guerre à Gaza : C’est comme si on n’était pas des êtres humains
Asma, une Gazaouie, raconte son expérience de la guerre.
La douleur et la résilience
Asma, une femme de Gaza, a vécu onze mois de guerre. Elle a vu sa ville détruite, ses amis et sa famille blessés ou tués. Elle a connu la peur, la douleur et la résilience. « C’est comme si on n’était pas des êtres humains », dit-elle.
Asma a dû quitter sa maison pour trouver refuge dans un camp de réfugiés. Elle a vu des enfants mourir, des familles se disperser, et des vies anéanties. « Je ne peux pas oublier ce que j’ai vu », dit-elle.
La vie sous le feu
Asma a vécu sous le feu constant des bombardements israéliens. Elle a entendu les explosions, vu les débris et les ruines. « C’était comme vivre dans un cauchemar », dit-elle.
Malgré tout, Asma a trouvé le courage de continuer à vivre. Elle a aidé les autres, a partagé ce qu’elle avait, et a essayé de rester positive. « Je ne peux pas laisser la haine m’emporter », dit-elle.
Un appel à la compassion
Asma appelle à la compassion et à la solidarité. Elle dit que les gens doivent comprendre ce qu’elle a vécu et ce que vivent les Palestiniens. « Nous sommes des êtres humains, nous avons des vies, des familles, et des rêves », dit-elle.
Asma espère que les gens se souviendront de ce qu’elle a vécu et qu’ils feront tout pour mettre fin à cette guerre. « Nous sommes fatigués, nous sommes désespérés, mais nous ne sommes pas perdus », dit-elle.
Asma est une femme courageuse qui a survécu à la guerre. Son histoire est un appel à la compassion et à la paix.
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